Puis vient le tour de Romain, que suivent de près Aymar et Fleur, et, plus loin, encore indistincts, Martial et Lydie, qui ne voient pas sur l’autre trottoir Hyacinthe sortir de chez elle, non seule comme on pouvait s’y attendre – son invitation n’était qu’à elle seule réservée –, mais accompagnée de Thècle qu’elle a hésité à laisser seul entre les mains des autres lions ; et comme la demie de huit heures carillonne chez Jacqueline – on le sait, elle ne viendra pas, tout comme ne viendront pas (encore que ce soit pour des raisons bien différentes, raisons que chacun gardera par-devers soi) : Adelphe et Inès, Agathe et Sébastien, Augustin, Apollinaire, Lucie, Natacha, Blaise, Yvette, Ella, Claude, Gwladys et Maxime –, émerge seule de l’immeuble du numéro 9 Roseline qui, en traversant la chaussée, note l’attroupement à la porte du 8 où, alors qu’elle s’en approche, elle reconnaît Alix et Prisca, Lucien et Eugénie, puis Anicet, qu’accompagnent Ida et Guénolé, plus un vieil homme qu’elle ne peut reconnaître puisqu’il s’agit de Parfait...