J’ai passé une partie de l’après-midi à la suite de la traduction des poèmes de Parra pris sur le réseau, dont un, La venganza del minero, (La vengeance du mineur), particulièrement coriace, trop idiomatique (je ne pense pas pouvoir le mener à bout). J’ai ensuite passé en revue les livres des foires en vue d’une éventuelle remise en ligne. Au soir, Un monde parfait de Clint Eastwood, je l’avais déjà vu et l’ai revu avec le même plaisir ; puis un bout de « C dans l’air » et la majorité de ce drôle de film qu’est Meurtres de Richard Pottier avec Fernandel et Jeanne Moreau dans l’un de ses premiers rôles (déjà bien affirmée). Je n’en avais jamais entendu parler. (En réalité, il s’agit de Meurtres ? avec un point d’interrogation. Il m’avait semblé qu’il y avait un peu trop de mots d’auteur dont certains déplacés dans la bouche de certains personnages, par exemple, « il m’a serré la main du bout des lèvres » ; je viens de vérifier ; il s’agissait de Jeanson.) J’ai revu les quatre poèmes de Parra avant d’aller me coucher : La poesía morirá, Pasatiempos, Quièn es el que viene ahí et Yo soy más de La Reina que La Isla…
31 juillet 2018