Suite des notes :
107 note : mais
qu’est-ce que ça devient en français
ou dans tout autre traduction ?
124 note : la rime TITUS avec PERDUS
l’accent tonique qu’il
appelle accent d’intensité
la périphrase, vieille
école, pour éviter la répétition : la langue du Tasse pour ne pas répéter
l’italien, la langue de Racine pour ne pas répéter le français, le maître
de la troupe pour Molière. C’est un peu ringard, non ?
p. 130 TROCHÉE ?
p. 131 note 1. Plutôt
que de qualifier la culture commune de stupide, il serait préférable que
l’auteur apporte des éclaircissements quant aux termes employés. Ce livre est en partie fait pour cela.
p. 140 REGNE par deux
fois ?
(p. 141, Bary absence
d’autres accents)
En effet, ce sont des
extraits d’un ouvrage de Bary, 1679, époque où la graphie était
différente ; ainsi : « recit ».
p. 141 gestes
d’expression, traduction douteuse et coquilles dans la note.
18 janvier 2002