Journée d’hier, lente, calme, je n’ai rien
fait de particulier sinon réparer la porte de la douche qui devait l’être
depuis près de trois ans. Lecture, suite de Sostiene Pereira qui me
réjouit. J’aime Tabucchi et sa langue simple et délicate. Je n’ai pas
dit, coïncidence (mais en est-ce vraiment une ? j’en parlais justement hier avec
Tiburce, de Lisbonne, de la découverture de
Listopad, puis, il y a
quelques jours, en pensant à Venise et à la confusion entre le portugais et
l’italien et à mon désir de me remettre un peu dans le bain de la langue, au
choix aléatoire d’un texte italien dans la souffrance ; il y a trois Tabucchi,
mais quelques autres, disséminés, dont Moravia ; j’ai pris Tabucchi ; pour
découvrir dès les premières lignes que l’action se situe à Lisbonne, et, comme
je le disais encore à Tiburce, au plaisir de la coïncidence s’est ajouté celui
de retrouver au fil du texte des lieux connus, traversés). Ma phrase n’est pas
achevée…
19 octobre 2003