p. 139 : le lecteur (qui décidément m'est très précieux), deux croquignols moyens marge gauche : « C'est pourquoi la littérature rejoint si souvent la Bible, le cas peut-être le plus frappant étant celui du dernier livre de Melville, Billy Budd... Il y a un “ crime ” soigneusement dissimulé par la loi en personne dans les parages, un “ mystère d'iniquité ”, selon le mot de Paul repris par Melville dans son roman, l'un des plus bouleversants de tous les temps... On ne peut pas lire Billy Budd sans entrer dans la mise en scène de l'Écriture qu'il suppose... » Puis la note de bas de page : « Billy Budd, marin, suivi de Daniel Orme, de Herman Melville, traduction, préface et notes de Pierre Leyris, Gallimard, 1980. J'insiste : ce livre est une date inouïe. »
Éléonore l'a-t-elle dans sa bibliothèque ? Au fait, n'est-ce pas le même Leyris que celui dans le petit ouvrage sur Ford, lu récemment, celui qui traduisait le « stamped » de Shakespeare par « fabriqué » ?...

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