p. 23 l’image du troisième œil,

que j’ai de même utilisée (et d’autres que moi, sans aucun doute),

pas neuve mais qui frappe…

 

p. 26 : un croquignol,

avec du vent à l’intérieur, mais sans souci de mention à l’extérieur :

 « […] en équilibre sur la route balayée par le vent qui le repoussait […]. »

 

 (Qu’est-ce qui fait la différence pour ce lecteur ? qu’est-ce
qui le décide à apposer ou non le mot « vent » ?...)

 

p. 29 : deux croquignols,

dont l’un portant la mention « vent » :

« […] et sur lesquels le vent se précipitait […]. »

« […] même immobiles dans l’effroyable vitesse du vent […]. »

 

et j’ai noté à la page 17 un « vent » non relevé (oublié ?)

par le lecteur (et voilà qu’à présent je vais me mettre

à attendre les « vent »)…

 

16 mai 2002