Journée passable...
Spectacle de danse au soir qui m'a bien fait rire...
Journée magnifique... Je suis allé voir ma mère. Nous sommes allés au restaurant. C'est moi qui ai payé, une fois n'est pas coutume. Une petite rentrée d'argent qui est la bienvenue...
Je passe chez F***. Nous allons visiter un appartement occupé par un Polonais qui doit regagner son pays pour le 15 avril. C'est petit, mais coquet, et la situation est excellente. De plus, loyer modéré. Je crois qu'elle est contente... Nous fêtons ça dans un petit bar au coin de la rue des Sarrazins et de la place. F*** et M*** s'y trouvent. Nous plaisantons autour des musiciens dont l'un se prend très au sérieux. Quel cabot !...
14 h 15. Roubaix. Je suis malade. Crève. Trois jours d'arrêt. Je viens à l'instant de mettre à jour le présent carnet. Ouf. Mais j'ai quatre jours de retard à combler. Beaucoup de choses durant ce week-end. Pour l'heure, je me sens parfaitement incapable d'un long rapport.
(discussion avec Jacques, notamment à propos d'Herzeele et de la « danse de l'aviateur » ; son orgue de Barbarie et sa proposition de me voir composer un air pour lui).
... crève. Je ne vais pas
au boulot. Visite chez R*** qui était particulièrement en
forme. Il me parle de clystères et des murs hygiéniques
du siècle dernier, photos à l'appui. Puis je prépare mes
premiers envois. Puis cours à M*** et à T***. C'est la
rentrée. Cela faisait quinze jours sans cours. Plus que jamais,
c'est éprouvant. Il me tarde d'arrêter tout cela...
Cours latin/grec, avec la visite inopinée de Jean-Stéphane qui,
comme auditeur,
remplace Sébastien.
Très belle journée...
J'ai repris le travail. J'étais très fatigué et depuis ce
matin, je traîne un étrange mal : étourdissements, vertiges,
bouffées de chaleur, maux divers... Mes problèmes de mains
m'inquiétent de plus en plus. J'ai aussi la tête très
chaude... Tout cela ne semble guère affoler mon médecin...
Il y avait A*** et M***. Puis J***-Y*** et L*** que tu ne connais pas. Le St Véran 1985 était très bien. Le St Émilion 1986, correct. La vodka Krakus frappée, les Apostolado au poil. Ils sont partis vers 21 h 00. [...]
J***-Y***, garçon plein d'humour et d'esprit, que je connais depuis près de 15 ans, a cette autre particularité, la première étant son statut de socialiste forcené doublé d'un syndicaliste virulent (mais intelligent et discret, ce qui est rare), d'être un ornythologue émérite. C'est la première fois qu'il vient et il n'a rien trouvé de mieux que de venir muni d'un nichoir qu'il est allé suspendre dans le gros cerisier. Il m'en a promis d'autres, comme il m'a promis aussi de remédier aux problèmes du bassin : la noyade des oiseaux, mais aussi son assainissement par micro-organismes, escargots et larves spéciales et autres poissons qui en un peu plus d'un an devraient clarifier l'eau et rendre le milieu viable et sain. Pour l'heure, charge à moi de surveiller le nichoir et de noter si éventuellement il sera occupé.
Belle journée sans
exagération...
Avec J***, F*** et S*** faisons un peu de latin et du grec.
S*** était très dissipé.
(S*** m'appelle pour notre
balade en Angleterre samedi.
Je suis assez content...)
(Ai envoyé une lettre à ***.
Que va-t-elle en penser ? Les aime-t-elle ?...)
Ai commencé Le Bilan d'Edith Warthon, après avoir terminé Under Western eyes qui m'a un peu échappé. D'une part, à cause de la persistance des images du film dans ma mémoire, d'autre part, à cause de l'impossibilité que j'ai actuellement de me défaire de SdeF et du Rapport entremêlés qui me brouillent toutes mes pensées.