De la fête à Roméo, au Turandot, on se souviendra longtemps ; ainsi René et Albert qui, en compagnie d’Edmond, le troisième larron, se partagent en trois parts égales (sauf celle d’Albert qui est l’auteur de l’idée et à ce titre estime devoir toucher davantage, c’est-à-dire dix pour cent de la totalité qu’il ajoutera au tiers du reste) l’appréciable petit pactole que leur a rapporté la première collecte des étrennes au bénéfice du service de voirie du quartier (qui, on l’aura compris, n’en verra jamais le moindre centime).

Appréciable, certes, mais en-deçà de ce qu’ils escomptaient, car ils constatent avec consternation qu’il est d’un quart inférieur à ce qu’il était les années précédentes...