Pendant ce temps, en ce même dimanche de l’Avent, Guénolé cherche toujours sa panacée stérilisatrice, et Ida n’ose toujours pas s’enquérir auprès d’Anicet de l’énigme de cette même femme aimée qui porte deux prénoms différents ; Fabrice, pour la énième fois, jouit dans son débarras de Carine qu’il songe à bientôt remplacer ; Arsène erre dans l’allée des garages à la recherche de Marina qu’étrangement tout le monde semble ne pas connaître ; Marthe supporte vaille que vaille les éclats de rire de Juste et de Clément qui chaque matin la réveillent ; Nina se caresse en détestant en vrac Amédée, Sébastien et le piano, et Gaston s’atrophie tout doucettement devant sa machine qui ne lui offre plus rien que du vent...