Sur le coup, Claire a été très surprise de l’attitude de Mariette, elle la connaissait à peine, elle n’était jamais qu’une voisine qui, cette fois-là, passait pour la première fois le pas de sa porte ; mais elle n’en a rien laissé paraître et, immobile et comme absente, a laissé sa bouche lui engloutir le sein, l’avaler, l’absorber, avec une avidité et une gloutonnerie – sans qu’elle n’ait paru y prendre vraiment du plaisir – qui ne pouvaient avoir d’égale que celles de Frédéric accroché de l’autre côté, cramoisi et au bord de l’asphyxie...