Malheureusement, l’impression n’est pas de très bonne qualité (mais c’est dans l’édition poche de chez Piquier ; elles sont sans doute de meilleure qualité dans la première édition). J’en ai tout de même numérisé une, uniquement écrite en hiragana et katakana, les caractères y sont lisibles ; je vais tâcher de la transcrire, ça me fera de l’exercice – je me suis aperçu que je ne parviens plus à lire la majorité d’entre eux ; quel gâchis, après toutes ces années à en faire l’apprentissage – et avoir, de surcroît, une correspondante japonaise, Amiko, en l’occurrence) Une correspondance avec Martha s’est entamée, au sujet des livres, je ne sais combien de temps ça va durer ; des livres et, en particulier, hasard, des autrices qui choisissent un narrateur plutôt qu’une narratrice. C’était parti des Violettes d’Amiko, je lui avais parlé d’un texte de Shimazaki (Aki, la Canadienne) avant de lire le dernier qui met aussi en scène un narrateur. Elle-même, Martha, venait d’entamer un Némirovsky avec de même un narrateur. Je ne me souviens pas d’un écrivain qui ait choisi une narratrice ; il semblerait que la pratique aille plutôt dans un sens que dans l’autre. Les hommes se soucieraient moins des femmes que les femmes des hommes