Je suis allé à L’Horizon acheter trois Shimazaki pour Rose, Jeanne et Guenièvre, chacune le sien. J’en ai profité pour en acheter un pour moi, Wasurenagusa. Je viens de le lire, d’une traite, partagé entre l’agacement et un certain plaisir. Japon, entre deux-guerres, la famille et ses obligations, un homme parle. Ça se termine un peu en eau de boudin avec une révélation dont on aurait parfaitement pu se passer. « Oh non », ai-je dit, puis, en le refermant, « le pire, c’est que je vais aller en acheter un autre »...
27 janvier 2022