Mirbeau précise dans un avant-propos qu’il s’agit du véritable journal d’une certaine Célestine R. auquel on lui a demandé (qui ?) d’apporter corrections et modifications pour le rendre plus « littéraire » (c’est moi qui guillemétise). On peut en douter, et j’en doute, on connaît le truc, et moi le premier. Mais voilà qu’à la page 85 apparaît le nom de Paul Bourget qui était encore bien vivant à l’époque et se serait exprimé ainsi, page 86

 

10 décembre 2002