En définitive, ce que je suis en train de lire
c’est La Chrysalide,
version Fukueri ;
ne manque plus qu’à trouver le Tengo français...
508 « Le monde… souvenir… »
« Le monde, vois-tu, Aomamé, c’est une lutte
sans fin entre un souvenir
et un autre souvenir, qui lui est opposé. » Ça me laisse songeur…
528 « Elle cessa… Tengo. »