J’ai entamé Fournier après avoir refermé Ferrante sur la dernière ligne. Deux choses surprenantes : la manière dont ça se termine, c’est-à-dire comme s’il manquait des pages (c’est la fin du mariage, mais ça reste tout de même en suspens) et la « révélation » (en est-ce une ?) de la signification du titre : l’amie géniale (que je préfère à « prodigieuse » et qui me semble plus juste, et Éléonore, alors que je lui disais qu’en italien il s’agissait de « géniale », est d’accord avec moi) ne serait pas Lila, mais l’autrice, la Greco (j’ai oublié son prénom). Comme c’est étrange. Du coup, le texte prend un autre tour et l’attente une autre direction…