J’en suis au septième « dialogue » où se vérifie, s’il en était besoin, que davantage qu’un dialogue, il s’agit d’un monologue. Le théologien est décidément pauvre en arguments face à un philosophe qui ne parle que pour lui-même (ce qui donne souvent à ses propos l’allure d’une autojustification). On en arrive à penser [? illisible] qu’il n’est qu’un bavard et que toute la sagesse, et la justesse, reviennent au théologien.

 

1 164 Moïse et le derrière de Dieu

 

1 187 HOCUS POCUS !

 

1 188 CL

 

1 194 la nièce !

 

1er juin 2003