« J’ai une nièce qui ne manque pas d’esprit, et
qui me fit rire un jour qu’elle me dit qu’avant de se marier elle n’a jamais dit
au confesseur ses péchés de mollesse dépendants des désirs, parce qu’elle ne se
crut obligée à faire cela par aucun précepte. Elle trouvait que le précepte
Ne désire pas la femme d’autrui ne pouvait pas la regarder puisqu’elle
n’avait désiré que quelqu’homme qui lui plaisait, et jamais des femmes, et
avouez, monsieur le théologien, que ma nièce avait raison. » Et tout ce que Casa
trouve à faire dire à son théologien, c’est : « Monsieur, je crois que vous
badinez. »