Éléonore a préparé le repas que nous avons pris au jardin, calme, une fois n’est pas coutume. Puis je me suis octroyé une pause Marcel pour reprendre le recueil des pièces d’Anouilh, L’Alouette, dans le jardin d’hiver, tout d’abord, à cause d’une musique à l’extérieur qui venait de je ne sais où, puis au jardin lorsque ça s’est calmé, et enfin, au salon où je l’ai achevé... Comme quoi l’Histoire n’a pas toujours raison : Jeanne échappe au bûcher et tout le monde est content. C’est très beau, je l’aime beaucoup (qu’en ai-je dit la première fois ?).
7 juillet 2013