Je lis peu, très peu, ne touche pas au piano. La chaleur m’accable comme à l’accoutumée et m’empêche de faire quoi que ce soit. À part Mai ici, je ne fais rien. Avant-hier, j’ai tout de même réussi à entamer Beckett, premier acte ; je ne sais quand j’aurai l’énergie d’attaquer le reste ; à peine rentré dans le lit, abruti par la chaleur, je ferme les yeux et peine à les garder ouverts.

 

25 juillet 2013