J’étais passé à la Belette pour commencer à jeter un œil pour les inévitables cadeaux (ils sont à présent à mes pieds). Dans les nouveautés, il y avait deux Zweig parus dans une collection de chez Grasset, très agréable édition à jaquette, je n’y ai pas résisté. L’édition est bilingue, le texte original suit la traduction, c’est une très bonne idée ; du moins pour le lecteur et pas forcément pour le traducteur dont le travail est ici exposé : il suffit de vérifier. C’est ce que j’ai fait à plusieurs reprises lorsqu’au bout de deux pages j’ai été agacé par la lourdeur du style et de la construction. J’ai relevé la grosse maladresse, proche du non sens, du « je remarquai » (voir le marque-pages). Il n’empêche que j’ai avalé cette petite histoire d’une cinquantaine de pages donnée comme inédite. Je me suis laissé les cinq dernières pour le lit tout à l’heure...

 

16 décembre 2009