Qu’est-ce qui produit l’attrait et le charme de l’écriture désuète de Zweig, les élans et les passions de ses histoires aux émois exacerbés ? J’y suis de nouveau confronté avec Ivresse que j’ai tout de même réussi à entamer après quelque temps de non lecture ou si peu que c’est pas… Ce serait son dernier roman, posthume...
17 novembre 2010