Je me suis levé de bonne humeur et ai achevé dans le séjour Ivresse, les dernières pages, le plan de « liberté » que Ferdinand propose à Christine. Je m’y étais arrêté cette nuit avant d’éteindre en regrettant ces pages que j’avais feuilletées en me demandant ce qu’il lui avait pris de le détailler. Le texte allait-il vraiment s’achever ainsi ? Oui, mais j’ai appris dans la préface qui suit (c’est bien écrit : préface) qu’il était resté inachevé. Le préfacier/traducteur pose lui-même la question que je me pose : d’où provient l’attrait que suscitent les textes de Zweig qui a eu un immense succès entre les deux guerres ? Comme d’habitude, j’ai avalé ce texte même si le plan proposé par Ferdinand me laisse très perplexe. Je m’attendais à ce qu’il s’achève sur leur séparation et une fin ouverte : quoi qu’ils fassent, les pauvres restent les pauvres...
20 novembre 2010