Je suis allé la border dans sa chambre. Au pied du lit se trouvait l’un des livres qu’elle m’avait rapportés des firloupes, Juichi Yoshikawa, sans mention d’éditeur. C’est un catalogue édité par la ville de Paris en l’honneur d’une exposition en 1993 (quoique rien ne l’indique précisément), voir le mot de Chirac en introduction qui loue un artiste qui sait lier la tradition à l’avant-garde. Yoshikawa est un calligraphe. Je l’ai feuilleté en me demandant ce qu’un Européen pouvait bien comprendre à cette particularité orientale. C’est joli, c’est beau. Mais encore ? Il y a tout de même certaines précisions au sujet de la vie japonaise qui m’accrochent. Je vais le reprendre du début. À noter « happening » traduit par « événementiel ». D’où le traducteur sort-il ?