
La traduction, comme je me doutais, est de
l’anglais au français. Ainsi, dans le mot de présentation de l’auteur : le
magazine, réduction, et cette fantaisie du traducteur, dernière
phrase…
P. 18 et 19, quatorze lignes réduites à sept en français, tous les
détails liés à son travail à l’exposition de Pékin sont gommés… Travails sur des
paravents, puis sur des « shofuku », rouleaux suspendus dans les « tokonoma »
(alcôve décorative, cœur de la maison japonaise) exprimant, par des
inscriptions, les sentiments du maître ou de la maîtresse de maison. Les textes
originaux en japonais figurent ; je suis toujours aussi fasciné par les
idéogrammes qu’il faudra bien qu’un jour je prenne de front… (L’étonnante
sobriété, et délicatesse, des « tokonoma »…)