« Pas mal. » C’est ce que j’ai dit à voix haute en terminant le second récit, « Le sourire des pierres ». Je suis au bureau. Eddy vient de partir. J’avais entamé la nouvelle alors qu’il était encore là, à somnoler sur son siège, pris sans doute par l’un de ses multiples maux de crâne. Je goûte de nouveau au plaisir de lire ici. Et puisque j’y suis, je vais tout de suite reporter les quelques notes prises durant la lecture :