Je l’ai achevé ce matin. Fin surprenante, bascule tout à coup ; j’ai immédiatement pensé à Hans Castorp de la Montagne magique, fin similaire (dans un registre différent – encore que l’humour de Mann, en l’occurrence, ne soit pas tout à fait éloigné de celui de Waugh – du moins, l’humour que j’y ai vu, ou que la traduction crée, il faut toujours se méfier des traducteurs). Pour le reste, je ne sais qu’en penser. C’est drôle (quoique), et puis ?... Je me demande si j’ai lu d’autres livres de lui… J’ai relevé « mistletoe » qui, phonétiquement, appelle quelque chose dans ma mémoire, que je ne parviens pas à localiser (et ça continue de tourner depuis, sans que je puisse mettre le doigt dessus)… Je vais reprendre le 23 décembre. (Oui, j’en ai lu deux, Hélène et Scoop ; je n’en ai aucun souvenir – sauf des titres et des exemplaires.) (Je pense à l’instant à la panne d’électricité chez le Rector alors que le Colonel diffusait « son » film au grand désespoir de l’assistance ; j’étais persuadé qu’elle avait été volontaire ; non, il n’en est plus fait mention par la suite…) (Qu’illustre la photo ? Et : « vile bodies », quel est le sens exact, quel est son sens ici ? quel sens Waugh lui donne-t-il ?... Je viens de vérifier ; je donnais bêtement à « vile » le sens de « vil » ; pas du tout ; c’est infâme, ignoble, exécrable, infect. Corps exécrables ; ça change tout…)

 

23 décembre 2012