Hier matin, j’ai reçu Le bûcher des vanités, le film. Je l’ai regardé au soir. Comme je viens de l’écrire à Sosthène, c’est une gigantesque farce : réduction, édulcoration, invention (la fin est complètement inventée et est une négation totale du texte) ; c’est pâle, niais, bête, et rien ni personne n’est crédible.

 

7 mai 2013