Après le petit déjeuner, j’ai poursuivi Venezia. J’approche de la fin et je me demande si parvenu à ces dernières années, l’auteur mentionnera l’invasion chinoise. Alors que nous remontions la rive droite du Canal Grande, Éléonore me disait que l’anglais touchait à sa fin et qu’à présent, c’est le chinois, en tant que langue, qui allait le supplanter et prédominer. J’ai passé pratiquement toute l’après-midi à la remise en route, papiers, fichiers, mises à jour diverses. J’ai fait un saut à la poste, ai fait quelques courses. Tout a repris sa place, Éléonore face à son écran et moi, finalement, en face du mien...

 

16 novembre 2009