Aussitôt levé, j’ai continué la lecture de Venezia, puis je me suis mis au 28 avril avant de me remettre à Venezia. Le temps a passé, il est 15 h 30, nous sommes toujours dans l’appartement. Éléonore lit. Pas plus que moi, elle ne semble avoir l’envie de mettre le nez dehors, où, du reste, il ne fait pas très beau, pas de soleil et froid...