Zattere. J’ai entamé I volatili del Beato Angelico. Je viens de lire deux fois de suite la note (Tabucchi sembler aimer les notes) : trop de vocabulaire me manque pour que je saisisse parfaitement. Et puis mes yeux se ferment… (Mes yeux se ferment : pas d’appareil aujourd’hui : c’est moi qui enregistre.) Je pense que je vais tout doucement me diriger vers la gare. Je vérifierai l’heure du bus, puis irai du côté du Ghetto ; à moins que je n’aille prendre un dernier verre à Margherita…

 

27 octobre 2003