Il s’agit en vérité d’un texte consacré à
Pessoa. Je n’ai toujours rien lu de Pessoa, ou peut-être un très court texte
paru chez Mille-et-une-nuits,
je
pense. Je
dois aussi avoir un recueil de poèmes dans la souffrance, en français, et à la
lecture de Tabucchi qui cite certains poèmes qu’il traduit en italien, je me
demande s’il ne serait pas plus judicieux de les lire en italien plutôt qu’en
français, même si le portugais en est plus éloigné que l’espagnol, par exemple.
Il y a de toute évidence des affinités de couleurs, de sonorités, de ton que le
français ne peut rendre. Quoi qu’il en soit, je doute fort d’aller bien loin
dans cette lecture…
18 juin 2003