Après Priest, je suis retourné à Tabucchi avec l’intention de l’achever, mais sans succès. Après un essai avec Le Clézio (Le procès-verbal), j’ai repris Tabucchi. Il m’en reste quelques pages. J’aime beaucoup ce livre, et puis impossible de m’accrocher (mais cette dernière lettre est pour le moins étrange) et j’ai lu sans lire. Je l’ai monté avec moi pour le finir, quoi qu’il arrive, même si ça doit me coûter une cigarette (cette salope qui finalement est bien la cause de tout). Mon plan n’a pas tenu le coup longtemps, ça dérive de nouveau et ça m’agace, et je me répète ce que j’ai déjà tant dit : « se brider pour ne pas trop fumer ou s’en ficher et écrire ? » Bref, la santé ou l’écriture ?

 

29 mai 2018

 

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