Je pensais pourtant bien connaître tout Pantalon et la route qui mène à Zenobio (en passant par Frari) ; il n’en est rien ; mais je n’en suis pas mécontent car je découvre encore… Je viens d’achever Sulla strada di Möbius ; je ne suis pas sûr de bien saisir… À ma gauche se tient une dame (arrivée après moi – ou une fille, je n’ai pas encore vérifié – j’avais le corps légèrement déporté sur la droite et il m’était difficile de tourner franchement la tête vers elle) ; elle écrit frénétiquement à l’aide du clavier d’une tablette. J’écris dans mon calepin… Je n’ai pas encore tourné la tête vers elle ; je peux voir qu’elle porte des baskets et que la tablette est en réalité un petit laptop. À mon avis, elle doit être jeune (une étudiante de Foscari, peut-être)… J’entame Una notte indimenticabile…
17 septembre 2013