J’ai regardé Rebecca, suis allé prendre l’air de la nuit sur la terrasse plongée dans le silence et baignée de lune, suis revenu prendre ma place dans le canapé pour poursuivre Tabucchi, récit suivant, Una lettera ritrovata, l’étrange histoire d’Hyppolite Bayard qui aurait inventé le positif en photographie (ai-je bien compris ?). Il fait trois pages ; à la deuxième, mes yeux me piquaient, puis se sont fermés. J’ai eu un mal fou à aller jusqu’à la fin de la troisième page, puis j’ai fermé les yeux et somnolé… Est-ce ma sortie d’aujourd’hui qui m’a fatigué à ce point (ou l’alcool, ou les deux) ?... Je n’ai pratiquement pas travaillé aujourd’hui et n’ai pas la moindre envie de m’y mettre à présent. Je n’ai pas envie de Mai, ni de Gloom. Mes notes et la lecture semblent me suffire. Je verrai demain…