Je lis Piazza d’Italia, l’un des trois Tabucchi achetés du côté du Rialto. Je répète l’expérience de la lecture à voix haute au milieu du bruit des réacteurs et du brouhaha environnant. Cet italien un peu bâtard qui s'échappe de ma bouche (c’est de ma voix que je parle) et que j’entends tout à la fois de l’intérieur et de l’extérieur, a des accents très troublants...

 

12 novembre 2008