Je l’achève, avec, je dois dire, un peu de mal à cause du vocabulaire. Tabucchi ne m’avait pas habitué à une telle profusion, ou alors je ne suis pas très disposé en ce moment, ou il l’a écrit en fonction de mes lacunes. De ce fait, il m’a un peu échappé. En même temps, j’étais parti avec l’idée qu’il s’agissait d’une sorte d’histoire plus ou moins romancée de Garibaldi. J’étais complètement à côté de la plaque ; je m’en suis rendu compte lorsqu’aux environs de la page 100, des SS arrivent…
20 novembre 2008