Je n’avais pas mis le réveil, me sens réveillé naturellement. Sept heures. Ce serait donc mon rythme. Pendant ce temps, Theroux est à Buenos Aires (qu’il adore ; cela a fait monter en moi quelque chose de l’ordre du regret, même si j’ignore ce sentiment : j’avais eu deux fois l’occasion d’y aller) et moi au soleil aussi… (Les sportifs m’agacent. Cet acharnement à croire que tout passe par le corps…)