105 « For the gun-show... »

Pour les habitués des foires aux armes, « c’était comme si la guerre de Sécession avait eu lieu hier […], l’amertume de l’humiliation est toujours présente ». « Le mouvement pour les droits civiques a été une autre défaite pour ces Sudistes qui avaient été si sensibilisés aux intrus, fanfarons et profiteurs, et surtout aux étrangers qui n’avaient pas le souvenir des humiliations causées par la guerre de Sécession. La disparition des plantations était un autre échec, tout comme l’essor des politiciens opportunistes, la délocalisation des industries, la chute de l’élevage des poissons-chats […] et à présent l’économie misérable qui fournissait si peu de travail et d’argent que les gens allaient dans les foires aux armes simplement pour regarder et convoiter une arme décente qu’ils ne pourraient jamais s’offrir, comme illusion de protection, symbole d’indépendance. »

 

Il parle souvent de Faulkner (comment l’éviter, mais il n’est pas le seul écrivain du Sud) ; je pensais qu’il ne l’aimait pas... En vérité, il est souvent rebuté par la complexité de son écriture (notamment The Sound and the Fury), mais reconnaît l’importance et la grandeur de son œuvre. (Comment faire autrement ?...)

 

112 « lazy Susan » ?

« Anyone could sit down, and the food was served buffet style on a lazy Susan […]. » Cela reviendra à plusieurs reprises… Une desserte ?... Oui, mais sous forme de plateau tournant…

 

127 et suivantes, un mot tabou Nigger…

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