Avec le mauvais temps, je suis revenu chez Bert. Café, fondant, etc ; et la fatigue de même revenue, qui m’avait laissé tranquille durant quelques jours au point que j’avais réussi à lire de nouveau au bureau, Le coupeur de roseaux (dans lequel apparaît une certaine O-YÛ qui ressemble étrangement à celle de Mizoguchi – c’est bien la même).

 

28 août 2008