Le soleil et l’absence de pluie m’ont incité à aller vérifier si le Klee avait rouvert. Oui. Je me suis installé à la terrasse pour y entamer Le coupeur de roseaux. J’ai été surpris par la fluidité de l’écriture et j’ai immédiatement pensé à Kawabata dont le caractère haché du style m’a toujours perturbé. De là, la question : Daniel Struve, le présent traducteur, a-t-il adapté ou non ? En d’autres termes, le traducteur de Kawabata a-t-il respecté une construction qui serait spécifique au japonais ou non ?
25 août 2008