Hier, la journée a été semblable à d’autres dans les mêmes circonstances au même endroit et je suis persuadé que ces journées peuvent se confondre pour n'en faire qu'une : le repas, la remise des cadeaux que j’ai effectuée avec Armel, le thé, puis retour à table, trop plein de nourriture. Je suis sorti cinq fois sans que le tabac me manque vraiment. J'ai eu de multiples cadeaux, dont ceux d'Éléonore, bien sûr : des chemises en T chaudes, une paire de pantoufles que j’ai au pied, un livre de Tanisaki que j’ai entamé, puis poursuivi au lit, coïncidence étrange en cette fin de Mai : croisement du journal d’un homme et de sa femme à propos de leur vie sexuelle, il a mon âge...
26 décembre 2009