Je ne me sens pas très bien, bouffées de chaleur, oppression, c’est le tabac. Nous venons de rentrer de la mer. Cela s’est fait d’une manière impromptue au cours de l’inauguration de la statue de Delvoye au square de la rue Saint Antoine. Doriane nous parlait de la mer, disait avoir envie d’y aller, mais ne voulait pas y aller seule. Nous nous sommes décidés en quelques minutes. Elle est rentrée, nous nous sommes préparés et l’avons prise chez elle. Une heure et demie plus tard, nous y étions. Il faisait un temps magnifique. Elles sont allées se promener, j’ai achevé « Ashikari une coupe dans les roseaux » le second récit des Deux amours cruelles. Je les ai rejointes près de la place, nous avons fait quelques courses, puis après le champagne pris sur la terrasse, nous sommes allés au restaurant. Nous sommes rentrés par la plage, avons passé un moment à parler de la mort dans le séjour...