Après le petit déjeuner, j’ai poursuivi Tanizaki ; j’en suis presqu’à la fin. De la déchéance d’un homme envoûtée puis grugée par une gamine. J’attends une fin inédite à ce thème ancestral… L’écriture est un peu vieillotte (en supposant que le traducteur soit bon – le français passe relativement bien, en tout cas, beaucoup mieux que dans l’immense majorité des traductions du japonais), mais c’est de 1924 (est-ce une excuse ?)…

 

8 juillet 2012