Je viens d'achever Vision à New-York,
avec une certaine déception, je dois dire, due à la présence, en conclusion,
d'un second entretien effectué en 1975, c’est-à-dire trois ans auparavant. C’est
du reste, à la fin de cet entretien que figure la mention du traducteur, qui n’a
peut-être dû officier que pour ce seul texte ; c’est notable, tant au niveau de
la traduction en elle-même (anglicismes) que des propos où le Sollers suspect
éclate pleinement. D’où la déception.