« On revient toujours à cette histoire de profane et de sacré, d'espace profane, d'espace sacré et de “ pont ” entre les deux. Moi, je suis pour dire que la littérature est ce pont suspendu, balancé, cette espèce de balancement entre les deux et sur l'abîme, n'est-ce pas. C'est la danse sur la corde raide, qui évoque le fait qu'il y a au moins deux mondes... Ce qui nous amène fatalement dans la région dite “ folie ”. La discussion sur Artaud, par exemple, c'est la discussion sur sa folie ou non, et nous restons dans la rumination psychologique des acteurs et de l'assistance qui se trouvaient là, face à ce problème. »