J’ai entamé La vie divine. Cent pages d’un coup. Casanova du début du XXIe siècle (ou de la fin du XXe siècle : quel âge a-t-il ?). C’est agaçant, mais en même temps, ça me fait sourire. Et puis, c’est libre, et j’aime cette liberté-là. (Et je ne peux m’empêcher de penser à moi, à cette structure manifestement née de notes qui pourrait être ce à quoi j’aspire sans le savoir encore. Je l’avais déjà perçu en lisant Passion, ça me semble plus flagrant ici. Pourtant, en reprenant juste après la lecture et les corrections de Lustre 1, je ne vois pas le moindre rapport, tant au niveau du ton, de l’écriture, de la structure. Alors ?...)

 

29 avril 2006