Reste les poèmes en soi, texte d’origine avec la traduction en vis-à-vis, dont le gros est constitué de fragments. C’est à la première page des poèmes que je m’étais arrêté en m’étant promis d’y accorder toute mon attention, de décortiquer l’original à l’aide de mon acquis de ces dernières années. Je l’avais posé sur mon deuxième bureau dans l’attente du moment propice. Il n’est toujours pas venu...
26 août 2005