J’ai décidé d’abandonner provisoirement Alexandre pour m’attaquer au Vent. Repris depuis le début (je n’avais guère lu que trois ou quatre pages sur le banc d’Ixelles face aux canards). Faulkner, tout de suite, c’est frappant, et à la page 15, dans la marge droite, un trait de stylo à bille noir vertical accompagné d’un mot manuscrit : vent, vertical aussi, marque/trace d’un précédent lecteur (il y en a d’autres, je l’ai remarqué en feuilletant) : « […] au-dessus de la ville aux rues désertes, balayées par le vent sauvage et froid. » Puis, à la page suivante, un autre trait vertical dans la marge gauche, mais cette fois sans la mention vent quoiqu’il en soit question sans que le mot soit utilisé par Simon : « […] et le maelström de détritus tourbillonnants, avec cette tempête, cette sorte d’ouragan quasi permanent […] »...