Je suis monté, ai prélevé de la souffrance L’autre comme moi, suis redescendu m’installer dans le salon, l’ai entamé, aussitôt emporté. Saramago m’emporte toujours. Mais dans cet emportement (en pensant aux libertés qu’il se permettait, libertés que je n’aurais sans doute pas osées, et en relevant une fois de plus son ton particulier) est venu s’insérer, et presque s’incruster, la pensée de Journals. Quel ton adopter ? Comment me sortie de son ornière ? Où est sa solution ?...
16 septembre 2007