Je suis parfois agacé par son système de narration qui, en l’occurrence, me semble un peu excessif, mais le texte est le plus fort. Je lis cette histoire en pensant à Gloom, en pensant à Praha-Lucca, en pensant enfin que Saramago est pour moi une sorte de double, moi étant son duplicata, en l’ayant élu comme modèle pour mon « parcours littéraire ». Il me reste quatre ans pour commencer à écrire… (Dommage que la traductrice s’évertue à confondre « avérer » et « révéler », à ce point qu’il m’est venu à l’idée qu’il s’agissait d’un choix, une sorte de nique aux types dans mon genre...)
17 septembre 2007